Le concept de galerie nomade fait des émules. mais c'est un concept difficile à assumer. Difficile de repérer les nomades en route. La caravane va son chemin dans le désert, difficilement repérable. D'où l'utilité des caravansérails...
Il y a un an, la Galerie Blanche, encore toute fripée de ses déboires immobiliers (l'épisode du propriétaire avide et des partenariats officiels longs à la détente, à oublier) décidait de poursuivre sa tâche : Donner à voir.
Et nous donnâmes à voir le travail magique et poétique de Vappu Johansson, grande artiste finnoise venue de son pays tout exprès pour présenter ses travaux les plus récents. Le fruit d'une rencontre dans la galerie. le hasard. Un café, des idées et des passions communes. Un bel échange. Une amitié naissante avec l'artiste et son conjoint. La promesse d'une collaboration. La galerie nomade avait posé bagages chez Marie Sargos Teisserenc, personnalité du monde l'art qui ne s'en laisse pas compter et qui joua le jeu. En quelques jours, l'affaire était convenue : nous étions en mars 2012, Vappu exposerait sur les cimaises de la dame. Premier caravansérail pour notre esprit nomade. Grand succès auprès d'un public cependant trop restreint. Mais le début d'une implantation bordelaise pour l'artiste.
Et nous donnâmes à voir le travail magique et poétique de Vappu Johansson, grande artiste finnoise venue de son pays tout exprès pour présenter ses travaux les plus récents. Le fruit d'une rencontre dans la galerie. le hasard. Un café, des idées et des passions communes. Un bel échange. Une amitié naissante avec l'artiste et son conjoint. La promesse d'une collaboration. La galerie nomade avait posé bagages chez Marie Sargos Teisserenc, personnalité du monde l'art qui ne s'en laisse pas compter et qui joua le jeu. En quelques jours, l'affaire était convenue : nous étions en mars 2012, Vappu exposerait sur les cimaises de la dame. Premier caravansérail pour notre esprit nomade. Grand succès auprès d'un public cependant trop restreint. Mais le début d'une implantation bordelaise pour l'artiste.

Mais Bordeaux a son mot à dire. Alors la Galerie Blanche reprend sa route, et la caravane passe. Laissons les chiens aboyer.
A suivre donc...
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